Description
Pour Marie-Claude Ras-Allard, c’est la vie qui prime. Elle s’imprègne de tout ce qui l’entoure, puis elle peint. Elle parle dans ses toiles de sa vie, de sa tendresse pour l’humain, de son émotion bienveillante devant le spectacle de la rue et du monde, du métissage éternellement à l’oeuvre, où alternent le noir et le blanc comme dans le Tai Ji qui les contient. Sa gestuelle en constant devenir est libre. Elle la veut au service de l’humain.